Encore une balade au plateau. Il a fait très frais la veille, si bien qu’en arrivant la haut avant le soleil, tout était blanc.
Le soleil a tout de même fait fondre tout ça, plus ou moins vite selon l’épaisseur de couche. A la fin de la journée, on se serait cru au printemps à la fonte des neiges tellement les arbres dégoulinaient et le sol était imbibé d’eau.
Cette neige n’a pas empêché les pipits de venir dans la prairie. Cette fois-ci, parmi les spioncelles, il y avait quelques farlouses. Voici ces derniers.
En s’asseyant par terre derrière une petite butte et en attendant, quelques grives draines venaient se poser à proximité. Elles ne restaient pas bien longtemps captant une présence très rapidement.
L’une d’elle était concentrée a attraper des criquets et est restée un moment en me laissant un peux approcher.
Un petit groupe de bruants jaunes trônaient au sommet de buissons. Ils se sont plus ou moins facilement laisser approcher, surtout l’un d’entre eux.
Voici quelques mésanges noires, je ne m’en lasse pas !
Puis une mésange huppée, pas la seule croisée mais la seule que j’ai pu immortaliser correctement. Elles sont tout de même un peux moins nombreuses qu les noires, en tout cas sur le plateau.
Voici un rouge-gorge, que j’ai entendu lors de mes 2-3 dernières balades précédentes ici, mais ils sont farouche ici ! Celui-ci était plutôt sympa.
Une bergeronnette des ruisseaux parmi les mérens.
Pour terminer, voici une alouette des champs que j’ai suivie après 5 décollages dans mes pattes. En général les alouettes (du moins à Beille) ne se pose pas trop loin de leur point de départ après avoir été dérangées. Pour celle-ci, étant donné que c’était ans les pâturages juste en face du parking, j’avais à chaque fois dans mon champ de vision l’endroit où elle se posait, donc j’ai pu m’approcher approximativement de cet endroit sans trop de souci. C’est pour la repérer que c’est plus difficile, sans compter qu’elle nous suit du regard sans arrêt, elle compte sur son camouflage et ne s’envole pas de suite. J’ai pu surprendre celle-ci alors qu’elle s’était posée au sommet d’une butte, dans un endroit ou le sol s’était affaissé, comme un mini cratère. En rampant le long de cette bute, arrivée en haut, je me suis doucement redressée et ai vu l’alouette galoper dans l’herbe. Elle m’a repérée sur le champ, et à ma grande surprise m’as laissé le temps de faire quelques clichés.