Encore une balade au Teich, avec un début de matinée dans la grisaille.
J’ai commencé (et terminé) la sortie par un arrêt à la mangeoire, qui est toujours aussi fréquentée.
Les mésanges bleues sont toujours aussi nombreuses et les moins farouches.
Quelques pinsons des arbres viennent aussi, mais ils sont plus timides.
La sittelle torchepot m’a fait l’honneur de poser sur une branche un certain temps, elle qui d’habitude viens directement dans la mangeoire avant de repartir cacher ses graines.
Il y a énormément de moineaux, friquets et domestiques, mais ils sont très méfiants et hyperactifs !
Tout d’abord un domestique.
Puis des friquets.
Une femelle verdier d’Europe.
Il y a aussi des mésanges charbonnières, moins nombreuses que les bleues.
D’un coup, tous les oiseaux se sont précipités dans les buissons en criant. Un épervier est passé et c’est perché quelques secondes dans un arbre avant de s’en aller.
Un rougegorge familier c’est montré lui aussi, après le passage du chasseur.
Celui-ci a été photographié sur le chemin, après m’être accroupie un petit quart d’heure afin de l’attendre. Il fesait des aller-retours sur le chemin et a fini par s’approcher toujours en me surveillant du coin de l’œil.
Pendant que j’attendais le rougegorge, la poule d’eau qui était sur le chemin une minute avant est ressortie et est venue manger quelques brins d’herbes juste devant.
Voici quelques foulques, il y en a un très grand nombre qui hiverne au Teich.
Les sarcelles d’hiver avaient leur beau plumage nuptial, et les mâles paradaient.
Il y avait toujours autant d’avocettes, toujours à distance respectable ou alors faisant une approche brève.
Les grands cormorans faisaient sécher leurs ailes sur leurs piquets favoris. Celui-ci avait une attitude assez comique.