Je change de côté pour les parcs et réserves, et vais plutôt au Teich au bord de l’Atlantique. La météo est plutôt pas mal, du vent mais supportable. La marée est haute, ce qui repousse les limicoles vers la réserve.
A l’entrée dans un buisson au bord du chemin, un hypolaïs polyglotte chante.
Dans l’eau au bord d’une passerelle, voici une cistude d’Europe.
Plus loin dans un affut, construit tout de même en hauteur avec des allures d’observatoire, il y a un petit groupe de chevaliers aboyeurs. Ils se pourchassent, et font des allers-retours en vol. Deux d’entre eux se sont chamaillés.
Dans un autre affut, un accouplement d’échasses blanches a lieu. C’est un instant très bref.
Un petit gravelot se pose sur une avancée de terre, puis avance et se couche. Il doit surement couver.
Un groupe de courlis cendré passe en vol. Ils ne se sont pas posé à proximité. L’un d’eux est passé un peu plus près avant de rejoindre le groupe.
Un autre accouplement d’échasses à lieu, plus loin que le premier.
Des bergeronnettes printanières arpente les îlots, mais elles ne sont pas à portée. L’une d’elles c’est posée sur un piquet.
Il y a de beaux regroupements de bécasseaux variables. Beaucoup d’entre eux commencent a mettre leur plumage nuptial.
Petit bain.
En regardant plus loin, je vois un pluvier argenté au milieu des bécasseaux. Son plumage attire l’oeil.
Sur le même îlot que celui ou le petit gravelot couvait, un traquet motteux fait son apparition. Lui aussi a de belles couleurs. Le gravelot reviendra pour couver par la suite, et chassera l’intrus de la proximité de son nid !
Dans l’affut juste à côté, il y a aussi des échasses, un peu mieux placées.
Une femelle de tadorne de belon es aussi devant.
Retour dans l’autre affut, un chevalier guignette se balade devant.
Le pluvier argenté prend son envol.
En voici un autre un peux plus proche, il est encore en plumage internuptial.
Un bécasseau variable s’approche.
Plusieurs oiseaux font leur arrivée. Tout d’abord un chevalier gambette.
Puis le chevalier guignette qui reviens.
Au tour d’un bécasseau variable d’arriver !
Revenons sur le chevalier guignette qui continue son inspection.
A côté des bécasseaux variables, je remarque un oiseau bien plus petit qu’eux. C’est un bécasseau minute. Son bec est aussi beaucoup plus court. Il a du mal a marcher dans la vase malgré son poids, il s’enfonce un peu par endroits.
Un bécasseau variable qui se trouve au même endroit a lui aussi quelques soucis vaseux.
Un autre chevalier gambette arrive.
Pose d’un bécasseau variable.
Voici un chevalier arlequin pratiquement en plumage nuptial.
En compagnie d’un chevalier gambette.
Un tadorne de belon passe en vol.
Ainsi qu’une échasse blanche.
Des bécasseaux variables font aussi une arrivée.
Il y a aussi des départs.
On pourrait presque croire que la tache noire de son plumage sur son ventre est en fait des éclaboussures de vase.
Un grand gravelot fait une apparition furtive.
Des tadornes de belon se disputent au loin.
Un dernier cliché du bécasseau minute.
Atterrissage d’un autre chevalier gambette.
Une échasse blanche cherche des invertébrés dans l’eau.
L’heure tourne vite et la réserve va bientôt fermer ses portes. Il faut avancer !
Sur le chemins, les martinets noirs sont en grand nombre. Ils volent assez bas, mais très vite, ils ne sont pas simples a photographier.
Au bord de l’eau, il y a des chevaliers arlequin. Celui-ci est encore en plumage d’hiver.
Celui-là en revanche est en plumage d’été.
Un chevalier aboyeur est là aussi.
J’entre dans le dernier affut exploité de la journée. Ici aussi il y a beaucoup de limicoles. Des chevaliers gambettes.
Et un chevalier culblanc ! Le premier de la journée.
Juste avant la sortie, un ragondin grignote dans un point d’eau. On peut admirer ses dents bien oranges.