Dimanche en Camargue, pour la plus grande partie au parc ornithologique.
Voici quelques photos des oiseaux en volière à l’entrée.
Une cigogne noire.
Et un grand-duc d’Europe.
Il y a beaucoup d’activité dans la première partie du parc. Commençons par la première héronnière.
Des milouins pas très farouches.
Une cane colvert se faisait poursuivre par des mâles, et a tenté un atterrissage au milieu des flamants. Elle a loupé son coup, mais il n’y a pas eu de blessés.
Les hérons cendré amènent des branches dans leur nid, certains couvent.
Les aigrettes dans le vent.
Un couple est en avance sur les autres, ils nourrissaient les jeunes qui sont déjà bien grands.
Un ibis sacré vient boire un coup.
Les mouettes rieuses font plusieurs passages, se posant peu de temps avant de repartir dans les airs. Elles ne tiennent pas en place !
Deux hérons garde-bœufs se sont disputés, je ne sait pas d’où est partie la querelle, mais le bruit a attiré mon regard.
Il n’y a pas eu de blessés durant la bagarre !
Direction la deuxième héronnière. L’affut qui est placé devant est plein, et qui plus est mal placé par rapport au soleil a cette heure ci. Nous restons donc devant. Les flamants roses sont partout ! Voici un accouplement.
Parmi les roses, voici un flamant nain, qui est apparemment ici depuis quelques temps. Ces flamants vivent d’ordinaire en Afrique, on en trouve dans les parcs et les zoos. Celui-ci c’est probablement échappé de la réserve de Sigean qui n’est pas très loin.
Des canards colvert passent en vol.
Départ d’aigrette garzette. Je n’ai qu’une image d’aigrette, elles étaient moins présente aujourd’hui ou alors très mal placées.
Les choucas des tours apprécient aussi les branches de la héronnière.
Le toit de l’affut plait aux mouettes rieuses.
Il y a beaucoup de hérons de ce côté aussi. Ceux qui sont sur la héronnière sont un peu loin, mais d’autres sont dans le point vert à côté de la cabane. Ici aussi, ils amènent des branches au nid.
Pousse toi de là que je m’y mette !
Pas simple de ranger ces grandes ailes avec toutes ces plantes !
Il y a aussi des garde-bœufs avec leur beau plumage.
Encore une rieuse, sur un chemin qui coupe un étang en 2.
Une autre arrive, son cercle oculaire est mieux dessiné.
Voici des mouettes mélanocéphales, qui nichent sur un ilot un peu plus loin. Certaines s’approchent en vol. Leur tête est bien noire et leur bec plus gros que celui des mouettes rieuses.
Une sterne pierregarin passe. Elles aussi nichent par ici, mais il n’y en a pas encore beaucoup.
Une fusée passe, c’était une mouette pygmée ! Elle est surement en route pour rejoindre son aire de nidification plus au nord-est.
Il y a pleins de ragondins dans le parc, en voici un près d’un chemin menant a quelques affuts.
Les chants de bouscarles de cetti résonnent à travers le parc. En voilà une qui se montre un peu !
Une cistude prend le soleil.
Des circaètes passent en vol. L’un d’eux se fait houspiller par un goéland.
Il y a du monde devant le grand affut à 1 étage. Quelques sarcelles d’été qui sont restées à distance.
Des échasses blanches, qui n’arrêtaient pas de foncer tête baissée sur toutes sortes de canards canards. Ici sur des souchets !
D’un coup, tout le groupe c’est envolé, je ne sais pas ce qu’il c’est passé, probablement un passage de rapace. Les souchets en vol cette fois-ci.
Ils sont ensuite tous revenus ! Le groupe d’avocettes qui dormait était alors bien réveillé.
Plusieurs couple se sont accouplés, avec la parade qui va avec. La femelle tend son cou au ras de l’eau, et le mâle se met d’un côté et de l’autre, faisant sa toilette et éclaboussant sa belle en secouant son bec dans l’eau.
Après l’accouplement, les amoureux courent ensemble, se tenant le bec avant de repartir chacun de leur côté.
Quittons le parc pour aller au alentour de l’étang de Scamandre. Sur le chemin, une sterne caspienne tourne au dessus du canal. Son bec est plus gros que celui des sternes pierregarin, et elle est aussi plus grande.
Des ibis falcinelles inspectent ce qui semble être une rizière. Pas mal de ces oiseaux nichent en camargue, dans la réserve de Scamandre.
Voici une piéride du navet. On en voit de plus en plus.
Pour finir voici un héron pourpré, ils commencent a arriver après l’hiver, et son beaucoup plus farouches que les hérons cendrés du parc.
