Cette fleur commune dans les sous bois de montagne fleurit dès le mois de février
Famille : Ranunculaceae
Difficulté de détermination
Statut de conservation
Espèce protégée
Préoccupation mineure à l’échelle nationale mais Quasi menacée en Haute-Normandie, Vulnérable en Basse-Normandie, En danger en Ile de France et Disparue de Picardie Espèce déterminante ZNIEFF en Île-de-France, Champagne-Ardenne, Haute-Normandie, Bourgogne-Franche-Comté, Hauts-de-France, Alsace, Auvergne-Rhône-Alpes
Protection / Menaces
Les principales menaces sont les pratiques forestières non adaptées : coupes trop importantes ou au contraire densification du sol forestier. Elle est parfois aussi cueillie en nombre car elle est décorative et fleurit tôt en saison.
Identification
• plante grêle et velue • fleurs solitaires longuement pédonculées, hermaphrodites • fleurs portant 6 à 9 sépales lancéolés ressemblant à des pétales, généralement violets, parfois roses ou blancs • involucre de 3 bractées vertes • nombreuses étamines à anthères généralement blanches • feuilles trilobées à limbe coriace, longuement pétiolées, persistantes en hiver • feuilles parfois tachées de blanc dessus, fréquemment violacées dessous • les fruits sont des carpelles velus disposés en tête dense
Autres noms
Hépatique noble, Hépatique à trois lobes
Étymologie
• “Hepatica” vient du grec “hepar, hepatos” qui signifie “foie”, en référence à la forme de ses feuilles rappelant les lobes d’un foie • “Nobilis” signifie en latin “connu, célèbre”, probablement car dans le passé cette plante était très utilisée pour soigner les maladies du foie selon la théorie des signatures (fondée sur la ressemblance entre le remède et l’organe à soigner)
Type végétatif
Vivace
Taille
5 à 20cm pour la plante, 2 à 3cm de diamètre pour la fleur
Habitat
Milieux frais, sous bois, généralement sur sol calcaire, jusqu’à 2000m, de préférence à l’étage montagnard
Répartition géographique
En France, elle n’est vraiment commune qu’en montagne
Cette petite fougère est très commune sur les vieux murs et les rochers
Famille : Aspleniaceae
Difficulté de détermination
Statut de conservation
Préoccupation mineure à l’échelle européenne et nationale
Identification
• feuilles étroites divisées en folioles arrondies et dentées • rachis brun • pousse en touffes généralement fournies • spores linéaires
Il existe plusieurs sous espèces que l’on peut séparer en observant le mode d’insertion des folioles, leur densité ou l’épaisseur de la nervure principale.
Autres noms
Doradille des murailles, Fausse capillaire, Capillaire rouge
Étymologie
• Asplenium vient du latin “Asplenum qui vient lui même du grec “splèno” qui signifie “rate”, car certaines fougères de ce genre étaient utilisées dans la Grèce antique pour soigner les maladies de la rate. • Thricomanes vient du grec “thrix” qui signifie “poil, cheveu” en référence au caractère fin du rachis
Type végétatif
Vivace
Taille
4 à 20 cm
Habitat
Sur les murs et les rochers calcaires ou siliceux, de 0 à 2000m
Répartition géographique
Partout en France, espèce cosmopolite répandue sur presque toute la surface du globe
Ordre : Trombidiformes Sous-ordre : Prostigmata Infra-ordre : Eleutherengona Super famille : Tetranychoidea Famille : Tetranychidae Sous-famille : Tribu : Genre : Tetranychus Espèce :
Difficulté de détermination du genre
Difficulté de détermination des espèces
Identification
• coloration rouge, jaune, orangée voire verte • corps ovale portant quelques longues soies • yeux rouges doubles • pattes assez courtes, au repos les deux premières paires sont portées en avant
Taille
0,5 mm
Biologie
Ces acariens se développent sur les plantes où ils tissent de fines toiles.
Genres semblables
Je n’en ai pas trouvé en cherchant à l’identifier. Il peut un peu faire penser à un Anystismais ces derniers sont bien plus gros et ont de plus longues pattes
Ordre : Trombidiformes Sous-ordre : Prostigmata Infra-ordre : Anystina Super famille : Erythraeoidea Famille : Erythraeidae Sous-famille : Callidosomatinae Tribu : Charletoniini Genre : Abrolophus Espèce :
Difficulté de détermination du genre
Difficulté de détermination des espèces
Identification
• yeux simples • yeux situés près de la fin de la crète métopique • corps ovale allongé • coloration variable, noirâtre, rouge ou jaunâtre
Les espèces sont pour la plupart difficiles à distinguer sur photo sans examen au microscope
Genres semblables
En France, les autres genres de la famille des Erythraeidae sont : • Balaustium, assez similaire mais possédant juste derrière les yeux une petite protubérance circulaire, faisant penser à des oreilles d’ours • Charletonia, plus grand (en tout cas ceux que j’ai rencontré) et dont les yeux sont situés à peu près au niveau de la moitié de la crète métopique • Leptus, plus grand et plus trapu, dont les yeux sont situés plus en avant, à peu près au centre de la moitié antérieure de la crète métopique • Erythraeusqui a les yeux doubles et est plus grand, avec des pattes proportionnellement plus grandes par rapport au corps
Les usnées sont des lichens formant de longs filaments plus ou moins ramifiés faisant penser à une barbe de viellard. Certaines espèces ont d’ailleurs des noms faisant référence à cette apparence comme l’usnée barbue ou barbe de Jupiter
Famille : Parmeliaceae
Difficulté de détermination du genre
Difficulté de détermination des espèces
Identification
• coloration vert grisâtre pâle • thalle fruticuleux
Les lichens de ce genre sont complexes à identifier. Pour espérer arriver à une identification à l’espèce, il faut avoir le plus d’éléments possibles : • une vue du lichen dans son ensemble et sa taille • le support sur lequel il pousse • aspect de la base du thalle (coloration, présence d’anneaux, longueur du tronc) • présence ou absence d’apothécies • l’aspect des soralies (planes, concaves, confluentes ou non), leur taille et la présence ou absence d’isidiomorphes • présence ou absence de fibrilles et leur aspect • présence ou absence de papilles et leur aspect • coupe la plus oblique possible d’un rameau, pour y voir l’aspect et la taille de la couche formée par le cortex et les cellules d’algues, de la médulle et du cordon axial (visible en macrophotographie)
Habitat
Sur les troncs et les branches des arbres feuillus ou résineux
Genres semblables
A compléter en fonction des individus rencontrés. Celui présenté ici ressemble un peu à Lethariella intricata, espèce très rare en France. Mais chez cette dernière, les fibrilles sont plus courtes.
Ordre : Hemiptera Sous-ordre : Heteroptera Infra-ordre : Pentatomorpha Super famille : Lygaeoidea Famille : Lygaeidae Sous-famille : Rhyparochrominae Tribu : Drymini Genre : Scoloposthetus Espèce : Scoloposthetus pictus
Difficulté de détermination
Statut de conservation
Non évalué
Identification
• coloration bariolée noire, brune et beige • pronotum trapéziforme à tache blanche sur les bords latéraux • 2 taches noirâtres vers le milieu des cories • taches blanchâtres en arrière des taches noires, celle côté interne pouvant manquer • membrane brun brunâtre à nervures sombres • macroptère • dessus glabre • antennes élancées, plus longues que la moitié du corps, à second article au moins aussi long que le diatone • antennes entièrement jaune brunâtre, parfois les deux derniers articles plus sombres • pattes brun jaune, fémurs 1 plus sombres • anneau sombre plus ou moins marqué à l’apex des fémurs 2 et 3 • rostre atteignant le milieu des mesocoxae
Taille
4 à 4,7 mm
Habitat
Litière de feuilles mortes, souvent en bordure de ruisseau ou de rivière
Répartition géographique
Eurosibérien et pontique, jusqu’à 63° nord en Finlande et jusqu’au rivages méditerranéens de l’Europe. A l’est, on le trouve jusqu’en Anatolie, Palestine, Transcaucasie et Sibérie occidentale.
Période d’observation
Toute l’année
Hivernation
Larves et adultes
Espèces semblables
Cette espèce se reconnait assez aisément grâce à ses longues antennes unicolores. Je n’ai pour le moment jamais eu affaire à des individus aux antennes assombries à l’apex et complèterais cette fiche lorsque cela arrivera. • Scoloposthetus patruelis peut rarement avoir les antennes claires concolores, mais elles sont plus courtes, plus robustes et le second article est plus court que le diatone. La partie basale de la corie est très claire en avant
Ordre : Coleoptera Sous-ordre : Polyphaga Infra-ordre : Staphyliniformia Super famille : Staphylinoidea Famille : Staphylinidae Sous-famille :Habrocerinae Tribu : Genre : Habrocerus Espèce : Habrocerus capillaricornis
Difficulté de détermination
Statut de conservation
Non évalué
Identification
• noir à brun très brillant • antennes, pattes et apex de l’abdomen plus pâles • tête transverse • antennes fines • anneau de soies raides autour de l’apex des segments antennaires • pronotum large • quelques longues soies dressées sur le pourtour du pronotum et des élytres • abdomen effilé en allant vers l’apex • apex de l’abdomen tronqué • abdomen finement pubescent • longues soies dressées sur l’abdomen
Larve : • 5 taches pigmentées disposées en ligne irrégulière de chaque côté de la tête
Taille
2,5 à 4 mm
Habitat
Sous les écorces, dans la litière, le compost…
Répartition géographique
Paléarctique occidental et Afrique du nord, introduit en Amérique du nord et du sud, en Afrique du sud et Nouvelle-Zélande
Période d’observation
Toute l’année
Biologie
L’accouplement a lieu au printemps et les larves se développent en un mois au printemps et en été.
Régime
Probablement mycophages et saprophages pour les larves et les adultes (les larves ont été observées se nourrissant de moisissures)
Espèces semblables
• Habrocerus ibericus est une espèce très proche. C’est une espèce que l’on trouve sur le pourtour méditeranéen et n’a jamais été trouvée dans le Tarn, où j’ai photographié cet individu. • Les genres Sepedophilus et Tachyporus n’ont pas les articles antennaires aussi fins et les soies des antennes sont moins longues et moins nombreuses.
Ordre : Psocoptera Sous-ordre : Psocomorpha Infra-ordre : Homilopsocidea Super famille : Famille : Elipsocidae Sous-famille :Elipsocinae Tribu : Genre : Elipsocus Espèce : Elipsocus hyalinus
Difficulté de détermination
Statut de conservation
Non évalué
Identification
• cellule areola postica (AP) présente mais non reliée à la veine médiane (M) • corps sombre, y compris la tête • stigma sombre • tache sombre à l’apex des cellules basiradiale et anale • pas de tache sombre autour de la cellule AP
Mâle : • inconnu
Étymologie
• hyalinus vient du grec “hyalos” qui signifie “verre” et exprime la notion de transparence
Taille
2,8 à 3,2 mm
Habitat
Souvent branches mortes de conifères, mais aussi autres arbustes et buissons. C’est une espèce corticole
Répartition géographique
Europe, plus abondante au sud. Islande, Afrique du nord, Israël, Mongolie et Amérique du nord.
Période d’observation
Toute l’année, mais actif surtout de juin à octobre. 2 à 3 générations par an.
Hivernation
Œufs et adultes
Biologie
C’est une espèce corticole qui se reproduit parthénogénèse
Espèces semblables
Pour les femelles : • Elipsocus nuptialis est la plus proche. La seule différence se trouve sur la tête. cette espèce possède un croissant clair marqué partant de l’arrière de la tête et englobant les ocelles • Les autres Elipsocus, qui ont un pattern alaire semblable, ont en plus une zone ombrée le long de l’areola postica. Cette zone peut être plus ou moins visible selon les espèces. Également, la marge supérieure voire le tiers apical de l’aile sont ombrés (attention car cela parait très léger). La zone ombrée de l’areola postica me semble la plus “facile” à repérer. Elipsocus moebiusi est l’espèce qui semble avoir l’ombre de la cellule AP la plus légère, mais en regardant les photos de ce site il semble que cette ombre se voit quand même.
Les mâles de toutes les espèces du genre ont les ailes hyalines, il faut pour les différencier une vue du dessus de l’abdomen. En ce qui concerne cette espèce, aucun mâle n’a été observé.
Ordre : Hemiptera Sous-ordre : Heteroptera Infra-ordre : Cimicomorpha Super famille : Miroidea Famille : Miridae Sous-famille : Orthotylinae Tribu : Halticini Genre : Dimorphocoris Espèce :
Difficulté de détermination du genre
Difficulté de détermination des espèces
Identification
• macroptère (certains mâles) ou brachyptère (femelles et certains mâles) • souvent tache brune au bord interne de l’œil • pronotum très court • dessus recouvert de soies blanchâtres couchées mêlées à des soies noires dressées • fémurs souvent épaissis
Je ne sais pas si la clé des espèces françaises du Faune de France (p276) est toujours d’actualité, j’ai lu que pour être certain de l’identification il valait mieux examiner un mâle. L’individu présenté ici a été photographié en Espagne, où il y a beaucoup plus d’espèces que chez nous, et pour lesquelles je ne trouve pas de documentation.
Genres semblables
En cherchant à identifier celle-ci, je n’ai rien trouvé de semblable.
Ordre : Collembola Sous-ordre : Entomobryomorpha Infra-ordre : Super famille : Entomobryoidea Famille : Entomobryidae Sous-famille :Lepidocyrtinae Tribu : Genre : Willowsia Espèce : Willowsia nigromaculata
Difficulté de détermination
Statut de conservation
Non évalué
Identification
• coloration brun jaunâtre • présence d’écailles sur le corps • bandeau sombre entre les yeux • anneau sombre à l’apex des fémurs 3, parfois des autres également • bande latérale sombre sur le corps • 4ème segment abdominal allongé • apex du 3ème segment abdominal à bande sombre remontant vers la base du segment sur les côtés • 4ème segment abdominal à bande centrale en zigzag interrompue en son centre, pouvant ne former que deux taches latérales • 4ème segment abdominal à apex sombre • apex des 5ème et 6ème segments abdominaux noirs • apex des segments thoraciques et des 2 premiers segments abdominaux à bande sombre légère pouvant manquer
Taille
1 à 2 mm
Espèces semblables
• Certaines formes de Willowsia platani peuvent être semblables (notamment Willowsia platani f. corticalis). Cependant, chez ce dernier, la bande sombre de abd2 et abd3 ne me semble pas remonter en diagonale sur les côtés des segments et le 3ème segment thoracique est plus largement noir et contrasté. • Entomobrya multifasciata peut être semblable à première vue, mais chez ce dernier l’apex de tous les segment est assombri, ce qui lui donne un pattern régulièrement strié. Il ne possède pas d’écailles (comme tous les Entomobrya). • Entomobrya corticalis a le 3ème segment abdominal très largement noir, les côtés du corps (du thorax au 3ème segment abdominal) sont parcourus par une bande sombre assez large. L’apex du 4ème segment abdominal n’est pas assombri. Il ne possède pas d’écailles (comme tous les Entomobrya).
Ordre : Sarcoptiformes Sous-ordre : Oribatida Infra-ordre : Brachypylina Super famille : Phthiracaroidea Famille : Phthiracaridae Sous-famille : Tribu : Genre : Phthiracarus Espèce :
Difficulté de détermination du genre
Difficulté de détermination des espèces
Identification
• corps arrondi, capable de se rouler en boule • notogastre lisse • plaques anales et génitales larges, rectangulaires, formant comme une fenêtre française
Il existe plusieurs espèces en France (au moins 16). Dans les clés, pour commencer à avancer il faut voir l’aspect du sensillus, plutôt difficile à voir sur photo sur des animaux aussi petits.
Habitat
Dans la litière du sol, le bois mort…
Genres semblables
Il est impératif d’avoir une vue des plaques anales et génitales pour arriver avec certitude à la famille des Phthiracaridae.
Dans la zone Paléarctique, les acariens pouvant se rouler en boule sont : • Le genre Archiphthiracarusest le plus proche. Il n’est à priori pas présent en France, mais en Italie et en Espagne oui. Ses plaques anales possèdent 5 paires de soies (contre 3 chez Phthiracarus) • Les genres Hoplophthiracarus et Hauserophthiracarusont des soies interlamellaires longues et dressées (voir ici) • Le genre Steganacarus mais son notogastre a une sculpture rugueuse • Les Protoplophoridae qui ont l’arrière du notogastre fissuré transversalement (voir ici) • Les Mesoplophoridae qui ont les plaques anales et génitales bien séparées, elles ne se touchent pas • Les Euphthircaridae et les Oribotritiidae ont les plaques anales et génitales très étroites, en forme de “V” (comme là)
Sources
• Hornmilben (Oribatida). Die Tierwelt Deutschlands und der angrenzenden Meeresteile, 76 Teil, Gerd Weigmann • Primitive Oribatids of the Palaearctic region, J. Balogh and S. Mahunka
Les larves de ce coléoptères sont mineuses des feuilles de nombreuses Brassicaceae
Ordre : Coleoptera Sous-ordre : Polyphaga Infra-ordre : Cucujiformia Super famille : Curculionoidea Famille : Curculionidae Sous-famille :Ceutorhynchinae Tribu : Ceutorhynchini Genre : Ceutorhynchus Espèce : Ceutorhynchus contractus
Difficulté de détermination
Statut de conservation
Non évalué sauf en Limousin où son statut est “Préoccupation mineure“
Identification
• corps court et convexe • coloration noire, à légère teinte métallique bleue ou verte sur les élytres • antennes noirâtres • pattes noirâtres (il existe une forme à pattes claires en Grande-Bretagne) • prothorax à deux petits tubercules • prothorax à bord antérieur relevé • base du prothorax arquée • interstries des élytres denticulés vers l’apex • fémurs sans dent • griffes non dentées
Elle se développe dans les feuilles où elle est mineuse, et se trouverait également dans les tiges où elle provoque des gonflements. La nymphose a lieu en terre.
Régime
Phytophage
Espèces semblables
Le genre Ceutorhynchus est très complexe. Celui-ci a été identifié sur insecte.org. • Le plus proche, après avoir vérifié tous les critères énoncés dans la description, est Ceutorhynchus erysimi, mais ses élytres ont une teinte bleu ou vert métallique bien plus prononcée. • Le genre Zacladus possède des aspérités sur les interstries des élytres, sous forme de petites dents.
Ordre : Hemiptera Sous-ordre : Sternorrhyncha Infra-ordre : Super famille : Psylloidea Famille : Psyllidae Sous-famille : Tribu : Genre : Cacopsylla Espèce : Cacopsylla pulchella
Difficulté de détermination
Statut de conservation
Non évalué
Identification
• ailes tachetées de sombre à l’apex • coloration brune, parfois abdomen vert clair
Mâle : • apex de l’abdomen à deux protubérances
Femelle : • apex de l’abdomen pointu
Larve : • vert clair, à marques noires pour les plus vieilles • ébauches alaires semi-transparentes • produit de la cire par des glandes abdominales
Autres noms
Psylle du Cercis
Taille
3-4 mm
Répartition géographique
Pourtour méditerranéen, sud de l’Europe, Allemagne, Autriche, Grande-Bretagne et Suisse
Période d’observation
Toute l’année, une seule génération
Hivernation
Adulte et œufs sur l’hôte et les conifères
Plante hôte
Arbre de Judée (Cercis siliquastrum)
Œufs
Ils sont déposés à la face inférieure des feuilles
Espèces semblables
Aucune, les autres n’ont pas ces taches distinctes sur les ailes. • Cacopsylla fulguralis a l’apex des ailes plutôt ombré, parfois avec seulement 3 petites taches à la marge postérieure
Ordre : Hymenoptera Sous-ordre : Apocrita Infra-ordre : Super famille : Ichneumonoidea Famille : Ichneumonidae Sous-famille : Ichneumoninae Tribu : Phaeogenini Genre : Heterischnus Espèce : Heterischnus truncator
Difficulté de détermination
Statut de conservation
Non évalué
Identification
• corps fin et allongé • tête assez large et noire • mesonotum, partie supérieure du pronotum et des mésopleures roux, rarement noir • scutellum roux • tegulae jaune • propodeum noir • abdomen noir à sutures intersegmentaires plus pâles et à pétiole court • pattes, coxa et trochanters roux • tibia 3 à macule claire à la base et légèrement assombri à l’apex
Femelle : • ovipositeur court et droit
Taille
6 à 8 mm
Période d’observation
Toute l’année
Hivernation
Adulte
Hôtes
Diverses espèces de Tortricidae
Espèces semblables
A compléter en fonction des variantes de couleurs rencontrées (thorax noir) : • Heterischnus truncator truncator (même espèce mais sous espèce différente) a le propodeum roux. Sur le tibia 3 se trouve un anneau noir juste derrière la macule blanche basale. La combinaison dessus du thorax roux et propodum noir, en plus de l’habitus allongé particulier, m’ont grandement aidé à la déterminer.
Ordre : Hemiptera Sous-ordre : Homoptera Infra-ordre : Cicadomorpha Super famille : Membracoidea Famille : Cicadellidae Sous-famille : Typhlocybinae Tribu : Empoascini Genre : Empoasca Espèce : Empoasca vitis
Difficulté de détermination
Statut de conservation
Non évalué
Identification
• corps allongé • antennes longues et fines • couleur vert clair • marques blanchâtres sur la tête, le pronotum et le scutellum • longues ailes hyalines • ligne longitudinale blanchâtre sur les ailes
Taille
3-4 mm
Cycle
Les œufs, de forme allongée, sont pondus dans le tissu des feuilles, le long des nervures principales. Les larves éclosent au bout de 5 à 10 jours à partir de mi mai. Elles passent par 5 stades larvaires avant de devenir adulte au bout de 3 à 4 semaines. On peut les trouver à la face inférieure des feuilles.
Période d’observation
Toute l’année. Il y a 2 à 4 générations selon les régions et le climat
Hivernation
Femelles adultes fécondées, sur la végétation à feuilles persistantes
Plantes hôtes
Très polyphage. A été observée sur : • Betulaceae : Corylus avellana • Fagaceae : Quercus • Lamiaceae : Mentha x piperita • Rosaceae : Prunus serotina • Saliaceae : Populus nigra • Vitaceae : Vitis vinifera